Au programme : Working Men’s Club, Christine and the Queens, Jeanne Added, Tamino, Aime Simone, Aurus, Lucky Love, Chien Noir, Le Paon, Ashe, Polycool et Melrose.
Elu parmi les 20 meilleurs romans graphiques de 2020 par le New York Times, « Breakwater » révèle une grande auteure londonienne !
Les théâtres du Châtelet et de la Ville ressuscitent « Barbe-Bleue », via La compagnie Tanztheater Wuppertal. Une pièce fondatrice, culte, de la danse contemporaine !
Directeur de Chaillot depuis avril 2021, Rachid Ouramdane clôt la saison du Théâtre national de la Danse en beauté avec son « Corps extrêmes », un show original et étonnant.
Au programme : Pomme, Dominique A, Charlie Winston, Nina Lili J, Cub Sport, vice E roi, Dorcas, Dillon, Daithi, FKA twigs, Santigold, Arthur Ely, MAGENTA, Drake et Simple Minds.
Grand Prix 2018 du Syndicat de la critique, « Tous des oiseaux » de Wajdi Mouawad revient au Théâtre National La Colline, là où elle a été créée en 2017, pour un nouveau triomphe !
Le dessinateur Stéphane Sénégas s’éloigne d’« Anuki » et donne vie à « Lucien », un personnage ambivalent et touchant, victime de la folie des hommes !
Après l’EP « Sados » sorti en février, Perez se fait encore plus méchant dans « Rex ». A…
Angel Olsen nous avait laissés avec le titre puissant et déchirant « Chance » qui clôturait magistralement son précédent album « All Mirrors » (2019), mais l’artiste américaine enchaîne parfaitement avec « All the good time » qui ouvre « Big Time » , son nouveau disque bouleversant !
Leader de Weaves, Jasmyn dévoile « In the wild », un premier album singulier au croisement du rock et du RnB.
C Duncan revient avec « Alluvium », un album psychédélique parfaitement mélodique !
Après 4 ans d’absence Father John Misty revient avec « Chloë And The Next 20th Century », un sublime hommage à l’âge d’or de Broadway.
De Cléopâtre à Giselle, en passant par Jeanne d’Arc et Ophélie, Le Musée de la Vie Romantique met en lumière « Les Héroïnes romantiques » de l’histoire de l’humanité ou de l’art !
Se jouant des genres et des époques, Pi Ja Ma revient avec « Seule sous ma frange », un second disque imprégné de romantisme et partagé en deux faces : la A dédiée à l’optimisme et la B nettement plus mélancolique. Pauline de Tarragon, de son vrai nom, y explore ces deux facettes de sa personnalité en compagnie d’Axel Concato son fidèle producteur et co-compositeur depuis son EP Radio Girl (2016). Ensemble, ils s’aventurent sur les terres d’ABBA, de Daft Punk, des Rita Mistouko, de Jacques Demy et Michel Legrand, du doo-wop… Autant de références volontaires et assumées ou pas que nous avons abordées avec elle et sa chienne Sacha présente lors de notre entretien comme sur la pochette de l’album.
Le collectif espagnol Kor’sia s’empare de « Giselle », ballet romantique culte, et nous en livre une version, libre et charnelle, étonnante !
En 1991, Maia Kobabe naît fille, tout simplement ? Et bien, non ! L’auteure américaine raconte, façon journal intime, sa non binarité dans « Genre Queer », un ouvrage drôle et instructif !
Tout plaquer pour recommencer à zéro ! Qui n’en a jamais rêvé ? Pas Josy en tout cas, l’héroïne de « Soixante printemps en hiver », le roman graphique libérateur d’Ingrid Chabbert et Aimée de Jongh.
Après « Dune », un chef-d’œuvre électro-pop mystique, Canine nous emmène à la « Source » et s’y dévoile ! Pour l’occasion, Magali Cotta, de son vrai nom, tombe le masque. Plus lumineux et pop, ce second album salvateur évoque l’ivresse des profondeurs. On y plonge volontiers !
L’artiste suédoise Lykke Li dévoile « Eyeye », un cinquième album mélancolique mais envoûtant, son plus personnel à ce jour.
Pour sa 15e édition, le salon du dessin contemporain Drawing Now Art Fair reprend ses quartiers au Carreau du Temple et y dévoile, à travers 72 galeries, une scène artistique hétéroclite et particulièrement inspirée.
Après s’être consacrée à l’histoire de son pays d’origine, Keum Suk Gendry-Kim, aussi de nationalité française, s’intéresse à celle des chiens en Corée du Sud dans « La saison des pluies », une fresque sociale étonnante.
Respectivement auteur et dessinateur sud-coréens, Lee Dong-eun et Jeong Yi-yong dévoilent en France « Changement de saison », leur premier roman graphique sobre et sensible sur les non-dits liés à l’homosexualité.
Dans la lignée des expositions « Faire corps » d’Adrien M & Claire B et « Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière » d’Olivier Ratsi, la Gaîté Lyrique présente « Aurae », une balade poétique et passionnante entre monde physique et virtuel proposée par l’artiste canadienne, Sabrina Ratté.
Pour expliquer ce qu’était la Neue Sachlichkeit (Nouvelle Objectivité) en Allemagne, le Centre Pompidou a rassemblé plus de 900 œuvres : peinture, photographie, architecture, design, cinéma, théâtre, littérature et musique. En résulte une exposition gigantesque et hétéroclite : « Allemagne / Années 1920 / Nouvelle Objectivité / August Sander ».
Du haut de ses 21 ans, The Doug débarque sur la scène française et y répand toute sa jeunesse avec force et fougue. Dans son premier EP « Jeune The Doug », Jules, son vrai prénom, nous livre ses états d’âme. Sa chanson française teintée de rap évoque Alain Bashung mais ses influences vont du rock nerveux de System of a Down au cinéma social et burlesque de Bruno Dumont. Des deux, The Doug a hérité d’une certaine singularité que nous avons tenté de saisir lors de notre rencontre.
Le célèbre groupe canadien, Arcade Fire, dévoile enfin « WE », un sixième album libérateur et totalement hétéroclite.
Les jumelles Ibeyi dévoilent « Spell 31 », un troisième album métissé et exaltant !
Portée par un surréalisme nourri de ses rêves, Fishbach sublime le réel. « Avec les yeux », titre de son second album, l’artiste crée un univers harmonieux et foisonnant pourtant constitué de références divergentes. Juste avant son concert au 106 à Rouen, nous avons eu l’occasion de la rencontrer sans interprète et parfaitement chaussée, le temps d’échanger quelques idées sur Scorpions, Bonnie Tyler, Michel Audiard, la musique de bagnole ou encore la Techno.
Récompensé par un Fauve d’Or au Festival International d’Angoulême pour « Cinq mille kilomètres par seconde » en 2011, Manuele Fior illustre délicatement « L’Ami retrouvé », le chef-d’œuvre poignant de Fred Uhlman.
Avec près de 80 œuvres datant du Moyen Age à nos jours, le musée Marmottant a édifié un incroyable « Théâtre des émotions », entre rires et larmes.
Le musée d’Orsay dévoile deux expositions majeures : « Gaudí » et « Aristide Maillol (1861-1944). La quête de l’harmonie ». C’est cette dernière que nous vous dévoilons dans un premier temps.
Portée par des chœurs sublimes, les nouvelles chansons tragiques ou à boire de Baptiste W. Hamon nous font passer par divers états émotionnels. Pleines de vie, elles racontent, entre rires et larmes, le destin des écorchés parfois « Jusqu’à la lumière », le titre de son troisième album réalisé par John Parish.
Empreintes de l’histoire de l’art, d’Instagram et d’une grande mélancolie, les peintures de Jean Claracq évoquent le papier photos glossy et la lumière homogène des écrans. Né à Bayonne en 1991 et diplômé de L’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2017, l’artiste est devenu en quelques années une figure majeure de la scène contemporaine.
Après « Soft & Tender », une comptine savoureusement désuète et devenue un tube en 2021, November Ultra dévoile « Bedroom Walls », un premier album attendu et surprenant qui lui permet de se faire une place entre Rosalía et CocoRosie.
Son troisièmes opus « Motomami » est un savant et explosif cocktail de reggaeton fiévreux, d’électro déstructuré et de flamenco traditionnel (le magnifique « Bulerías »).
Tour à tour rayonnante et bouleversante à l’écran, Romy Schneider, actrice caméléon, investit, 40 ans après sa disparition, la Cinémathèque française de Paris, le temps d’une rétrospective éponyme qui montre comment la petite fiancée autrichienne est devenue une icône mondiale du cinéma.
En s’attaquant à un sujet pourtant plombant, la vie en Ehpad, Quentin Zuttion livre un récit poétique et poignant : « La dame blanche ». Indispensable !
Le musée Jacquemart-André célèbre, entre autres, l’arrivée du printemps avec l’exposition « Gallen-Kallela – Mythes et nature ».
En 1952, le peintre et décorateur de théâtre André Masson qualifie Les Nymphéas de Monet comme étant la « chapelle Sixtine de l’impressionnisme ». Cette phrase culte et loin d’être anodine participe à redonner une dimension décorative et pertinente à plusieurs œuvres issues du même courant artistique.
Après Klimt, Van Gogh… c’est au tour de Cézanne et Kandinsky d’illuminer l’Atelier des lumières ! Une nouvelle fois, cette double projection flamboyante, « Cézanne, lumières de Provence » et « Kandinsky, l’odyssée de l’abstrait », est un enchantement.
Âgée de 27 ans, Marguerite Boutrolle vit dans le Vexin où elle partage son temps entre graphisme et peinture. Après diverses publications sur Instagram, elle passe au papier et dévoile « Fraîche », aux éditions La Boîte à Bulles.
Bruxelles reviennent sur une période un peu moins connue du peintre Matisse. Une belle fantaisie colorée !
Inclassable, Georg Baselitz a traversé le XXe siècle à contre-courant. Son cheminement étonnant et singulier le mène aujourd’hui au Centre Pompidou. Le musée lui consacre une rétrospective monumentale, la première en France. Élaborée avec la complicité de l’artiste, la scénographie retrace toute sa carrière marquée par le nazisme. Ses œuvres les plus emblématiques et qui résument le mieux ses intentions sont ses figures inversées. Pour les comprendre, nous sommes allés à la rencontre de Pamela Sticht, commissaire de « Baselitz – La rétrospective ».
Les cordes font partie de sa discographie depuis « La Biographie de Luka Philipsen », premier album paru en 2000. Pour réenregistrer 10 chansons de son répertoire Keren Ann s’est donc tournée vers le Quatuor Debussy. De leur rencontre est né « Keren Ann & Quatuor Debussy », un album quasi live à la croisée de la musique de chambre, de la chanson française et de la pop anglo-saxonne. Cette sélection retrace plus de 20 ans de carrière soit 8 albums, et contient quelques-uns de ses plus beaux titres de « Jardin d’Hiver » à « Les Jours Heureux » en passant par « Que n’ai-je ? ». Nous sommes allés à sa rencontre pour parler plus en détail de ce beau projet hors du temps.
Elle a toujours su qu’elle choisirait la musique pour s’exprimer. Armée de sa guitare et de son premier album « Ex-Voto », Lonny se positionne sur la scène folk, foisonnante mais rarement passionnante, et s’en démarque grâce à son sens incroyable de la mélodie et la délicatesse de son écriture un brin abstraite mais poétique. Dans le genre, nous n’avions rien écouté d’aussi beau depuis « A Song is way above the lawn » le dernier disque de Karen Peris, un des meilleurs de 2021. C’est vous dire combien nous avons été touchés par les chansons feutrées et aériennes de Lonny, une artiste incroyable et nourrie aux paradoxes. Petit éclaircissement !
Héritière de François Hardy mais résolument dans l’air du temps, Alexia Gredy dévoile « Hors saison », un premier album hors du temps qu’elle présente comme un inventaire des sentiments. Juste avec un filet de voix et un ton juste, la jeune artiste transmet effectivement des émotions fortes. Un beau miracle qu’elle aura mis quatre ans à réaliser.
« Voyager et photographier, voir le monde dans lequel nous vivons : je ne peux imaginer de meilleur moyen de vivre la vie qui nous est donnée. » aime répéter Steve McCurry. Aujourd’hui, c’est tout son monde qui investit le musée Maillol le temps de l’exposition « Le Monde de Steve McCurry ».
Un an après la disparition du maître du 9ème art, le musée Maillol rend hommage à Albert Uderzo à travers l’exposition inédite Uderzo, Comme une potion magique. Astérix y tient évidement une place de choix, mais cette rétrospective retrace toute la carrière du dessinateur et auteur qui commença très tôt, bien avant la naissance du petit Gaulois, alors qu’il avait 13 ans à peine.
Prolongeant l’exposition « Felix Gonzalez-Torres – Roni Horn » à OPERA (QM.15) de Dominique Gonzalez-Foerster dévoilée en avril, « Une seconde d’éternité » dessine un parcours inspiré par la question et l’expérience du temps, à travers un ensemble d’œuvres de la Collection Pinault. Peuplé de fantômes et constitué de moments suspendus, le parcours évoque la quête d’un insaisissable infini. Passionnant !
Au programme : Phoenix, Mika, Benjamin Biolay, Belle and Sebastian, Tamino, Eugénie, My Baby, $afia Bahmed-Schwartz, Myd, Mr Little Jeans, Courtney Marie Andrews, Caroline Savoie, Clair et Saavan.