Le Festival d’Angoulême vient d’attribuer son Fauve d’Or, Prix du meilleur album, à « La couleur des choses », un roman graphique très épuré de Martin Panchaud.
Catégorie : BD et romans graphiques
Après avoir récemment illustré « L’ami retrouvé », le chef-d’œuvre de Fred Uhlman, Manuele Fior adapte le roman sombre d’Arthur Schnitzler « Mademoiselle Else ».
Dans « Brancusi contre États-Unis, l’auteur-dessinateur Arnaud Nebbache revient en BD sur la plainte déposée par l’artiste Constantin Brancusi contre les Etats-Unis en 1926. Surréaliste mais bien réel !
D’origine arménienne, Roman Muradov est aujourd’hui installé à Brooklyn, New York et dévoile « Tous les vivants », un doux conte métaphysique plein de fantaisie.
Après avoir co-réalisé plusieurs récits documentaires dont le magnifique « Le Fantôme arménien » (2015), Thomas Azuélos signe « Toute la beauté du monde », une fable étrange et bien équilibrée, entre le polar atmosphérique, le conte fantastique et le récit historique.
Le deuil d’un frère, la vie en Ehpad, les couloirs de la mort… ces quelques mots pourraient bien vous faire fuir et pourtant ils sont au cœur des plus beaux, et jamais plombants, romans graphiques de 2022. Les auteurs ont su prendre le recul nécessaire pour aborder ces thèmes et nous embarquer dans leur tourbillon… de la vie. Il est aussi question dans cette sélection d’homoparentalité, de retour à la nature, de petit garçon qui se rêve en princesse, de l’assistante dévouée de Marcel Proust, de fantaisie et de liberté ! Voici notre palmarès des meilleures BD de l’année. Bonne lecture !
Yann Damezin dévoile une version moderne de Majnoun et Leïli, une véritable ode à l’amour tragique !
Dans « Hypericon », son nouveau graphique, Manuele Fior nous fait voyager de la Vallée des Rois des années 20 au Berlin des années 90, en résulte une belle aventure bohème et sensuelle !
Pour son premier roman graphique, Valentine Cuny-Le-Callet n’a pas choisi la voie de la facilité. Baptisé « Perpendiculaire au soleil », il traite des couloirs de la mort en 436 pages !
De « Diabolo Menthe » à « Ratures Indélébiles », la jeunesse féminine, ses joies et ses emmerdes, d’hier à d’aujourd’hui, en deux romans graphiques complémentaires.